top of page

Diplôme de paysage . ensapBx . Marie Bretaud & Helena Le Gal

Du minuscule à l'immense

Simulation d'une base de données bergeracoise en ligne intégrant des objets et des représentations du paysage

BASE DE DONNEES BERGERACOISE

CONCLUSION

CHAPITRE PRECEDENT

Ces dernières expérimentations visent donc à amender la base de données initiale que nous avions projetée en 2013. Aux collections d’objets jalonnant le territoire (fruit de notre propre représentation des paysages bergeracois), viennent s’ajouter des représentations habitantes ;

des vidéos, des sons, des films, des productions diverses viennent donc s’ajouter aux photographies.

Chaque évènement relevé est trié (attribué à une collection) et localisé sur la carte grâce à un logo. Cette constellation de micro relevés objectifs, affectifs, destinée à s’enrichir, constitue une représentation singulière et évolutive de ce macro territoire.

 

La collection des représentations 

 

Cette nouvelle collection que nous avons commencée pour ce diplôme intègre des données plus immatérielles. Elle permet d’insuffler une dimension plus humaine à cette base de données, elle rend compte d’une diversité d’habitants, de structures (associatives,…), de regards, d’affects liés aux paysages.

Les documents produits pour cette collection de représentations sont assez diversifiés, de nature documentaire comme fictive.

Elle rend compte du « potentiel humain » du territoire, et permet de valoriser les initiatives locales, de donner, par leur accumulation, une représentation du Bergeracois complexe, non lissée, évolutive.

 

 

 

La nature et le contenu des collections ne sont donc pas pérennes et devraient évoluer dans le temps. Pour que la basse de données puisse servir d’outil de récolte et d’analyse, elle doit s’adapter en fonction des initiatives, des récits locaux.

Autrement dit elle se fabrique en fonction de la matière du territoire pour en donner une représentation. Cette représentation polymorphe, à son tour, pourra influer sur celle des utilisateurs et donc, potentiellement, participer à nourrir leur affect des lieux.

L’accès aux données

 

L’entrée par la cartographie donne à voir une répartition dans l’espace, cette entrée géographique permet l’analyse de situations à une échelle plus restreinte ou donne une vision d’ensemble des répartitions d’éléments (lieux plus denses, des sites plus lâches) au sein du territoire.

 

L’entrée par « les collections » constitue une approche thématique. Elle donne une représentation du territoire à travers un univers choisi : les représentations habitantes fictives, les lieux de visibilité des animaux sauvages ou la répartition des séchoirs à tabacs… elle n’est pas forcément géographique

bottom of page